Par Étienne (dit Calou), CDLR de Batz-sur-Mer (44) et président de l'AMCA.

Cette année, l’asso a réalisé son premier grand séjour, du 8 au 10 mai, au Relais Motards Camping*** Les Hirondelles, situé à Loupiac dans le Lot (46). Ce sympathique établissement est bien connu de son président Calou, qui y a déja séjourné à plusieurs reprises depuis une quinzaine d'années.

L'Association Motocycliste de la Côte d'Amour (AMCA) est une nouvelle asso de motards créée le 17 janvier 2015, qui possède son siège à Pornichet (44) au coeur de la Côte d'Amour. Elle regroupe une quarantaine de membres pour lesquels la convivialité et la sécurité en balade sont les fils conducteurs. https://sites.google.com/site/amca44500

Ce vendredi 8 mai, nous étions 14 courageux inscrits pour braver une météo pluvieuse…

Après avoir déposé tous les paquetages dans la voiture d'accompagnement (conduite par Gaby, trésorière adjointe du club), c'est presque à l'heure prévue que nous avons enfin pris la route. Faut vous dire que Patrick avait confondu "Picard surgelés" avec "Décathlon" pour le point de rendez-vous : il nous a fallu patienter 15 min pour le récupérer. On cherche encore le point commun entre "Picard” et "Décathlon" !

 Nous avions choisi de ne pas emprunter de routes à péages : Nantes, Cholet, Poitiers et enfin Limoges où nous nous sommes arrêtés pour faire le plein des motos et déjeuner à la caféteria du Centre Leclerc où nous avons été très bien accueillis, des places nous avaient été réservées auprès des radiateurs pour faire sécher les tenues.

À la sortie, le soleil était revenu et nous avons emprunté l'autoroute jusqu'à Gourdon, puis rejoint le camping des Hirondelles…

Camp de base à Loupiac dans le Lot Relais Motards Camping*** les Hirondelles

Denis et Sandra, nos hôtes, avaient tout préparé et c'est rapidement que nous avons pu déposer nos affaires.

 Rocamadour

La ville est distante d'une trentaine de kilomètres de Loupiac. Rocamadour, “citadelle de la Foi”est un site touristique surprenant, véritable nid d’aigle qui attira les pèlerins dès le XIIe siècle.
Après avoir déposé nos motos au pied de la citadelle, nous empruntons le petit train qui nous conduit jusqu'à la porte principale de la cité moyenâgeuse, gardée par des portes fortifiées. Ruelles bordées de maisons médiévales et grimpette jusqu'à la basilique. De nos jours, c’est la Vierge noire de Notre- Dame-de-Rocamadour que l’on vient prier. Comme les pélerins, vous emprunterez un escalier monumental qui conduit à l’esplanade des sanctuaires où se côtoient basilique, crypte et chapelles, le tout dominé par le palais des Évêques de Tulle.
Les plus courageux ont grimpé jusqu'à la basilique, bravo !

Retour à Loupiac et au Relais Motards de Denis et Sandra pour le dîner que Denis nous avait préparé. Cette soirée fut mémorable ! Une tradition semble être de mise dans le Périgord : ne jamais pouvoir finir les plats qu'on vous a préparés, c'est comme un défi sans cesse renouvelé.
Une fois de plus ce fut un pur régal, et je ne vous en dirai pas plus, allez-y et jugez par vous-même!

Déjà dimanche ! C'est avec un peu de nostalgie que nous avons chargé les bagages dans la voiture d'accompagnement. Après quelques photos avec les enfants du camping, nous avons remercié Denis et Sandra pour leur accueil. C'est le coeur gros que nous avons repris la route direction les Eyzies de Tayac.

Les Eyzies de Tayac

Situé dans cette petite commune au bord de la Vezère, le musée national de la préhistoire permet de découvrir ce qui représente à nos yeux le berceau de l'humanité. De nombreuses grottes ont été classées au Patrimoine mondial de l'Unesco en tant que “sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère”.
L'ensemble de ces richesses fait que la ville revendique le statut de capitale mondiale de la préhistoire.

À Les Eyzies-de-Tayac Musée national de la préhistoire
1 Rue du Musée - 05 53 06 45 45 musee-prehistoire-eyzies.fr/ Horaires : Juillet/août : sans interruption de 9h30 à 18h30 tous les jours Juin/septembre : sans interruption de 9h30 à 18h, fermé le mardi Octobre à mai : de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h30, fermé le mardi Tarif : entrée : 6 €, tarif réduit : 4,50 €
Avec plus de 12 000 objets exposés, le parcours muséographique propose une approche complète du Paléolithique, des premières occupations de chasseurs-cueilleurs en Aquitaine, vers - 500 000 ans, jusqu’à la fin des temps glaciaires, vers -10 000 ans.

Les Eyzies

Relais Motards La Grignotière

À la sortie nous avons déjeuné dans un Relais Motards en face du musée national de la Préhistoire, La Grignotière, qui nous a très bien accueillis et que nous vous recommandons : qualité des plats et tarif attractif sont de mise. Nous y avons également fait la connaissance d'un des membres du moto-club local avec qui nous avons décidé de partager et d'échanger autour de nos régions respectives. Nous devrions nous revoir lors du week-end de l'ascension l'année prochaine.

Toute bonne chose ayant une fin, nous avons repris la route… De retour à La Baule à 22 h 30, c'est la tête remplie de souvenirs que nous nous sommes séparés en nous promettant d'y retourner en 2016.
La réservation est déjà faite au Relais Motards Camping des Hirondelles et nous découvrirons de nouveaux sites que nous avons pas eu le temps de visiter : le château de Castelneau, le Gouffre de Padirac et autres grottes… Ainsi qu'un petit tour de gabarre sur la Dordogne.

Côté budget
• Hébergement en demi-pension : 90 €/personne
• Repas x 3 x 15 = 45 €
• Essence : 1350 km x 6 L/100 x 1,45 € =117,45 €
• Divers visites : environ 20 €
• Total estimatif : 272,45 € pour 1 pers. /1 moto 427,45 € pour 2 pers./1 moto

Le bilan de cette balade ?
C'est 13 personnes, 10 motos et une voiture, 1450 km en 3 jours et plein de souvenirs… C'est aussi en moyenne 1 ou 2 kg de plus par personne à perdre d'ici l'été…
N'est-ce pas mesdames ?
Bonne route à tous.

Par Papy Guy CDLR à Voultegon (79).

 Ils sont venus ils sont tous là, où presque, pour ce périple au Pays basque avec un départ prévu de Bressuire (79) à 7 h 30. Au MC Les Vadrouilleurs, tout le monde, soit 23 personnes et 13 motos est à l'heure, si, si !
Direction St Jean de Luz (64) par nos routes bucoliques.

 À notre première pause, petit incident, la clef du cadenas qui protégeait les casques de notre JPP a cassé.
Il a fallu couper le câble avec le couteau suisse de notre ami Bernard une bonne demi-heure, ce fut une franche rigolade. Merci JPP.
Le passage de Bordeaux bien que difficile, s’effectua sans aucun problème, par contre la météo et ses caprices nous attendait.

Amis motards qui allez prendre la N10 après Bordeaux en direction de l'Espagne, cette N10 est devenue comme par magie une autoroute à péage : 130 km = 4 péages ! On nous prend vraiment pour des pigeons, et pour organiser les bouchons il y a pas mieux.

Puis, monté le col d'Ispéguy (Espagne), arrêt dans une bodéga La Venta Peio ; tout au sommet de la montagne elle surplombe la commune d'Urrugne offrant une vue imprenable sur le Pays basque…
Nous dégustons un repas typiquement espagnol : un régal ! Et on peut même y faire des achats. À la sortie du restaurant la brume étant enfin levée, direction le col d'Ibardin mais votre serviteur a une idée géniale !

Camp de base. Saint-Jean-De-Luz

1er jour

Nous voici arrivés à notre lieu de séjour sous la pluie, accueillis par les patrons Ann et Rémy les boss du Relais Motards camping Duna Munguy.

Ann et Rémy nous ont réservé un séjour sans fautes.
Ann s'est occupée de toute la logistique, repas du soir, un coucou à Frank le traiteur, la réservation des restaurants pour le midi en Navarre (Espagne et France) que du bonheur !
Nous avons mis nos affaires à sécher avec l'aide de Rémy : corde à linge dans son garage , eh oui la pluie était toujours présente.
Rémy avait concocté des parcours à couper le souffle !

2e jour

Direction Saint-Pée-sur-Nivelle, Espelette avec une pause pour déguster les spécialités.
Voici Saint-Etienne-de-Baïgorry (vin d’Irouleguy). Les vignes d'Irouleguy sont plantées en terrasses dans les montagnes et surplombent deux vallées (Baigorri et Garazi).

 Petite route en béton, bonjour les vibrations ! La pluie, le brouillard, la boue, les animaux en liberté, la carte routière trempée, plus de repère.

 Modifier l'itinéraire pour passer par le parc naturel de Bertiz. Et là a commencé un parcours dont on parlera longtemps dans les chaumières !
Inutile de vous dire qu'a l'heure où j'écris ces lignes mes oreilles sifflent encore ; heureusement Denis avait un GPS qui nous a sortis de cette galère : l'apéro bien mérité a été accueilli avec joie mais après avoir mis nos affaires à sécher.
Merci à toute l'équipe et surtout à nos compagnes pour leur compréhension, à Ann et Rémy pour leur nouvelle contribution au séchage du matos.

3e jour

N'étant plus ouvreur, vous devinez aisément pourquoi, Gaëtan notre président a pris la relève et nous partons de bon matin pour Ascain, Sare, Ainhoa, Itxassou, col de Lizarrieta, avec un arrêt à Urdax “village typique de Navarre” pour déjeuner dans une Venta.
Petite sieste avant de repartir par une route rappelant la route de la veille et oui, notre président a repris une partie du chemin !
Je vous dis pas la tête de nos petits camarades mais miracle, il fait beau et le paysage est magnifique.
C’est l’arrivée au col d'Ibardin passage obligé par les boutiques, quelques cartes bleues ont chauffé, descente sur Hendaye, route de la corniche, St Jean de Luz, retour au camping pour notre soirée où nous devions être au couleur du Pays basque. Ce fut une très belle soirée dont on se souviendra longtemps !

4e jour

Une surprise nous attendait, en effet Rémy nous servira de guide pour la journée avec un parcours dont nous ne connaissons pas le moindre détail ; eh bien nous n'avons pas été déçu, bien au contraire !
Le parcours débute par Guéthary, Bidart, Biarritz.
Après les stations balnéaires, l’intérieur des terres : Ustarizt, Cambo-les bains, Saint-Jean-Pied-de-Port, Saint-Jean-le- Vieux, Basaburua, col d'Haltza, col de Burdincurutcheta et Iraty.
Le parcours pour arriver au restaurant est impossible à décrire tellement c’est beau et nous avons pris un tel plaisir à le faire, la route à l'aller comme au retour fut de la même trempe.
Rémy s’est surpassé, qu’il soit remercié de sa gentillesse.

Le 5e jour, c’est le temps du retour, des souvenirs plein la tête avec la pluie qui se rappelle à notre bon souvenir, et bien sûr le racket des péages.

Je voudrais saluer et remercier nos épouses et compagnes et en particulier Josiane la charmante épouse de Gérard notre vice-président qui a montré une endurance de motard chevronné, car c'était une première : encore bravo !

Par Christian Reverdy, CDLR de St-Marcel-lès-Valence.

Avec les membres du MC Moto26 , nous voilà partis pour sillonner le Verdon et ses panoramas grandioses, du 13 au 15 septembre 2013. Nous sommes neuf motards à prendre la route, avec un départ différé en 2 groupes. Point de chute : Castellane. Itinéraire : à travers virolos et routes sinueuses, c’est toujours mieux !

Vendredi. Premier départ de Chabeuil à 16 h. Nous sommes 5 motards (Éric l’ouvreur du jour et Hélène ; Xavier et Julie puis Chris le doyen) à partir en direction de Castellane pour retrouver notre gîte L’Oustaou où nos hôtes Catherine et Christian nous attendent de pied ferme. Petite surprise sur la route : des chevaux affolés galopent sur le bitume, ils avaient sûrement quitté leur enclos sans autori - sation… Donc danger, coupure des gaz et croisement au ralenti oblige. Sans dégât, nous repartons pour nous remettre de nos émotions devant une petite pression bien méritée, dans le bourg de Serres (05).

Second départ à 17 h 30 pour les tardifs. Quatre motards (Franck l’ouvreur du jour et Caro, Gilles et Nico). Et bien sûr, personne ne s’attendait à la surprise d’une conduite de nuit, surtout dans les cols ; un tantinet galère, mais cela n’a pas entamé le moral de nos rouleurs aguerris (Gilles ayant pris les commandes avec ses yeux de chat et les supers phares de sa monture) et ils sont bien arrivés au gîte.
Ainsi toute la tribu (sauf un dernier que l’on récupère demain) est rassemblée autour de la table pour le dîner. Ensuite, extinction des feux pour un repos bien mérité, avec une berceuse roooondement menée par Papy Chris.

Le gîte L’Oustaou à Castellane, une bonne adresse.

Samedi. Réveil aux aurores pour les premiers de la tribu et p’tit déj très copieux. 8 h 45 top chrono, départ sous la con duite de Franck (ouvreur pour la journée) et Caro, photographe de service. Mais tout d’abord, plein des meules et récupération de Florian, benjamin de nos adhérents, qui a rejoint notre équipe à l’heure à notre rendez-vous de 9 h sur la grande place de Castellane (petit coup de chapeau à ce jeune motard qui est parti de Valence à 5 h du matin afin de passer le weekend avec nous, BRAVO !).

C’est avec un soleil magnifique que nous prenons la direction de Rougon…

Le canyon du Verdon

Notre balade débute par une marche dans le couloir de Samson, étroit passage qui marque le départ du canyon du Verdon. Avec nos lampes, nous voilà explorant un bout du Sentier Martel, longeant le canyon, traversant des galeries, dont le tunnel du Baou.

Dans l’obscurité, petite angoisse de Julie, pourtant très dynamique au jour. Même le doyen de nos adhérents, Papy Chris, a réalisé cette virée sans regret car vraiment on en a pris plein les yeux !

Notre conseil. Surtout ne pas passer à côté du tunnel du Baou, vous ne le regretterez pas.

Le canyon, rive droite

Ici nous empruntons des routes “bibliques” : la route des Crêtes par la D23. Chaque virage est un arrêt panoramique. Simplement magnifique, majestueux, splendide ; je ne trouve pas assez d’adjectifs ! Pique-nique au bord du lac de Ste Croix (3e plus grand lac de France, il s’étend sur 10 km de long pour 2 km de large). Pause chaleureuse avec beaucoup de fous rires. Et sans pédalo (car pas de moteur) ni baignade (eau un peu fraîche), quel courage ces motards de Moto26 ! Petite chôme pour certains, plutôt certaine (Hélène).

Puis nous savourons une bonne glace dans le village de la faïence, Moustiers-Ste-Marie, avec la visite du centre du village, assez pittoresque.

Le canyon, rive gauche

Après quelques kilomètres de virages, d’épingles, de paysages magnifiques, nous nous arrêtons sur le pont Artuby pour contempler les sauteurs à l’élastique, le village de Trigance, dominant la vallée de Jabron (situé à flanc de coteau au pied de la montagne de Breis).

Nous bifurquons vers la route D955, en direction de Figanières pour atteindre le col du Bel-Homme (915 m). De là, il est possible de rejoindre la table d’orientation située à 1032 m d’altitude. Puis les charmes de Bargème, l’un des plus beaux villages de France.

Les gorges du Verdon constituent la frontière entre les départements du Var au sud et les Alpes-de-Haute- Provence au nord, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur. C’est la région entre Castellane et le lac de Sainte-Croix plus précisément.

Retour au gîte, visite rapide de Castellane, puis petit apéro offert par notre ami Gilles qui a perdu son pari avec Xavier (sujet : un sens interdit pris ou pas dans Moustier…).

Ensuite repas du soir très appétissant et bien mérité durant lequel nous arrosons la nouvelle Italienne d’Éric. Pour terminer la soirée, quelques blagues devant un petit Genépi (CQFD).

Enfin vers 23 h, extinction des feux sur l’air du Bolérrrrro de Rrrrravel par Chris notre doyen, qui apparemment a un répertoire très varié… Durant la nuit, nous eûmes droit au tonnerre avec des averses de pluie assez soutenues.

Dimanche. Dès le petit matin, nous découvrons un ciel gris, couvert et humide. Triste fin pour un week-end si bien commencé.

Mais nous relevons le défi, décidés à affronter le mauvais temps et prenons l’itinéraire programmé du retour… C’est avec un peu de nostalgie qu’on quitte ces lieux magiques du Verdon.

 Direction St-Julien-du-Verdon pour une vue sur le lac de Castillon sous la pluie. La montagne de Lure* (1826 m) a été évitée pour cette fois-ci, en raison du mauvais temps, mais c’est que partie remise. *article dans le JDM n°87

Après une accalmie, nous tentons le col de Perty (dite “route remarquable”) pour se trouver face à de beaux paysages…

Entièrement couverts par le brouillard (à refaire une prochaine fois avec un soleil de plomb dans un ciel bleu azur !).

À 30 km de Nyons et nous décidons de manger au restaurant Le Bougalou à Saint- Auban-sur-l’Ouvèze (26) très sympa et à recommander aux motards gastronomes, avec une pizza aux 4 fromages, sauf Papy Chris qui s’est tapé une selle d’agneau (pour changer un peu de celle de sa meule). Un arrêt assez apprécié car nous étions un peu humides.

Le restaurant Le Bougalou à Saint-Auban-surl’Ouvèze, une bonne adresse.

Caro enfile ses sur-chaussures pour l’étanchéité (tout simplement des sacs Leclerc, très appréciés par son Franck). Nous reprenons le chemin du retour en direction de Ste-Jalle avec passage au col d’Ey, puis pour certains d’entre nous, découverte du Défilé de trente pas où se mêlent plaisir d’être sur une moto et décor merveilleux en sous-bois.

Tous entiers et aucun perdu, secs puis tout sourire devant le pot de l’amitié offert par notre sympathique Xavier pour arroser sa nouvelle belle Anglaise, et clôturer notre saison estivale Moto26 2013. Une petite pensée pour notre président Sergio qui aurait certainement aimé être parmi nous mais voilà, activité professionnelle oblige…

J’espère que le récit de cette balade sera bénéfique pour d’autres clubs motos, lecteurs du JDM, qui voudraient la réaliser.
À très bientôt pour de nouvelles aventures sur nos évènements automne-hiver.

Pour ce qui est du budget (consommé), il a été d’environ 190 € par motard : 92 € pour le gîte, les repas et le pique-nique, 65 € pour Benzine, 30 € de faux frais. ;

Ils sont jeunes, ils sont beaux,ils aiment la moto et l’amitié, la franche rigolade et les émotions. Trois couples vous font découvrir villages de l’arrière pays et routes viroleuses à souhait… Ne soyez pas surpris qu’à la fin de leur récit il vous prenne comme un désir de Provence.

C’est par un beau dimanche du mois de mai que nous partons de Fréjus en direction de Gréolières les Neiges pour une balade de 231km dans le haut pays niçois (06) et varois (83). Départ à 9 h pour notre Team 83 composée de très bons amis, motards endurcis avec leurs « sacs de sable », femmes à la ville et partenaires sur bécane, pour partager le plaisir de la route et de la découverte. Et oui, pour une fois les enfants sont chez les mamies et les filles sont donc de la partie !